Concept 1
La Fabrique du vivant consiste en un chantier de restauration de la biodiversité destinée à favoriser le lien et la transmission d’expérience entre les habitants. Sur la base d’expérimentation, le projet vise à aider la population à comprendre les effets de la pollution des sols sur la biodiversité et comment l’on peut mieux la protéger.
L’expérimentation consiste également avec le soutien d’experts scientifique sur le terrain de guider les habitants dans cette démarche et leur permettre de s’approprier les protocoles scientifique pour pouvoir mieux évaluer l’impact environnementale de leurs interventions sur la nature et les apports qu’ils peuvent générer pour la biodiversité.
La Fabrique du vivant :
Constat de l'existant
Découvrir
1/ Une Rencontre accompagnée d’un guide du patrimoine et d’un guide botaniste est proposée aux habitants pour une session de visite du site pour la journée du patrimoine aux Forges de Trignac.
Les personnes sont invitées à baliser leurs divers zones d’intérêt en vue de l’ouverture du chantier de restauration de la biodiversité.
Etape 1: L’Evaluation environnementale
2/ Le chantier début par une sensibilisation à la pollution des sols , avec la réalisation d’un relevé de carottage effectué sur le site des Forges et un relevé effectué aux marais de Brière servant d’échantillon témoin d’un sol naturel fertile . Puis seront réevaluer dans le temps l’état des sols après la réintroduction de végétations .
Etape 2: L’Exploration du vivant
3/ La personne sera invitée durant ses balades quotidiennes de quartier à contribuer à un relevé la biodiversité existante, pour permettre ensuite aux chercheurs d’identifier les «espèces bioindicateurs» révélateur de l’état du milieu sur le site des Forges .
4/ Pour engager tout les public, il sera envisagé une exploration collaborative ou chaque habitant pourra voir les nouvelles «germes» découverte via application de détection des plantes «Plantnet Go». Et un kit de récolte de graines sera fourni en supplément pour la culture de semis issues des espèces locale sauvage.
5/ Un espace dédié à l’observation de la biodiversité sera à disposition de tous pour la collecte de données sur la flore existante en associant les espèces repérées sur leur lieu de capture grâce à la géolocalisation photo.
6/ Après collecte de «l’herbier sauvage et du balisage de la flore déjà existante, un code de repérage sera établi par les encadrants scientifique pour répartir les zones balisées et les semis récoltés par catégories selon leur rôle écologique (ex: pollinisation / nourricier ... )
Etape 3: Restauration de la Biodiversité
C’est ainsi grâce à l’identification des besoins de ressources des milieux, que pourront être établi une gestion différenciée propre au principe de la «permaculture».
7/ Après identification de la flore, l’installation de capteur de mouvement sur les espaces semi-naturelle alentours permettront de repérer les déplacements des espèces nouvelles .
8/ Ainsi la personne pourra effectuer un pointage sensible de la position d’espèces nouvelles identifié à proximité pour pouvoir adapter en conséquence la gestion des sols et réintroduction de refuges.
9
2
1
3
5
4
6
7
8
9/ Après recoupement des informations collecter par les habitants, concertation et apport de relevés sur le terrain, seront réevaluer la qualité des sols pour garantir l’adaptation des espaces pour l’introduction de refuges pour les espèces nouvelles et vulnérable.